
Il s’oppose autant au mythe technocratique qui compte sur la science et la technique pour tout résoudre qu’à celui, spirituel et antirationaliste, qui prône un retour à la nature. Il leur préfère une écologie sociale qui cherche « à définir la place de l’humanité dans la nature sans tomber dans un monde préhistorique antitechnologique ni partir sur un vaisseau de science fiction. »