Si les injustices sont moins criantes en Europe
qu’au Mexique, elles existent : augmentation de l’écart entre les plus
haut et les plus bas revenus, du nombre de chômeurs pour augmenter les profits
du capital, du nombre de paradis fiscaux, des exonérations fiscales,…
Face à l’échec flagrant des institutions financières
internationales créées pour réguler les crises, la résistance s’organise.